Prénom : Mona
Surnom : Eishi [ Prénom de sa grand mère ]
Nom : Swan
Age : 16 ans (17 en fin avril)
Sexe : F
Nationalite : Japonaise
Métier ou année scolaire : Seconde année de lycée
Orientation sexuelle : Hétérosexuel

Taile : 1m67
Poid : 56 kilos

Animal de compagnie : Aucun
Particularité : Myope, porte une cicatrice sur la hanche gauche.
Phrase typique : "Je n'y suis pour rien."
But/Rèves : Réaliser un film à Hollywood.

Code réglement : 1357 et 0246

Description psychique / Caractère : Une gamine de riche. A voir son allure déjà ça se sent. L’écouter vient confirmer cette impression. Eishi est toujours seche et un brin méprisante avec ceux qu’elle juge moins malins qu'elle. Avec les autres, ceux qui lui plaisent, elle peut se montrer comme une camarade sympathique, mais dont le défaut majeur est de prendre sans donner en échange, mais n’ayant pas un si mauvais fond elle s’en veut lorsqu’on le lui fait remarquer. Ce trait de caractère revient pourtant toujours : elle se montre souvent trop sur d'elle.
La vérité est qu’elle aime faire tourner les gens en bourrique. Les faire douter, voir leur hésitation, les envoyer sur de fausses pistes, les surprendre… Pour elle ça devient presque une seconde nature. Eishi ne le fait pas par pure méchanceté, c’est pour elle une matière d’amusement, et souvent elle ne fait malheureusement que trop tard la différence entre le jeu et le sérieux.

La jeune fille n’est pourtant pas froide ou distante. Le visage d’Eishi exprime la plupart des émotions simples : il est facile de la faire sourire ou de provoquer une de ses reproches. Mais pour la faire rire, la mettre sérieusement en colère, ou la faire sombrer dans une dépression, il faudrait essayer longtemps. En clair, Eishi est plutôt rapide pour ressentir des émotions simples, mais celle plus violentes ne peuvent être provoquées qu’exceptionnellement. Et je vous assure que cela n’a rien à voir avec la patience.
Car la patience, ça, elle ne la possède pas. Eishi ne peut rester longtemps inactif. Etre coincé quelque part ou être obligé d’attendre la rend nerveuse, voir même agressive si ça en devient insupportable. Et, précisément, il vaut mieux ne pas avoir cette jeune fille sur le dos. Eishi est extremement rancuniere, elle a pour principe d’essayer rendre au centuple ce qu’on lui fait subir, que ça soit coups, humiliations ou autres… Et ce par tous les moyens qui lui conviennent.

Eishi aime toucher juste, trouver les bonnes solutions après un dur labeur. Par conséquent, elle travaille toujours avec acharnement dans ses cours, tellement qu’elle se déconnecte presque entièrement de la réalité autour d'elle. [ NO LIFE ! huhuhu ] C’est aussi cela qui l’a poussé à pratiquer le Kyudo. Quoi de mieux que de voir sa flèche toucher la bonne partie de la cible ? Ses autres petits plaisirs sont la lecture (une véritable enragée de romans policiers) et les repas (une amatrice de bonne chaire comme ça on en fait plus…).
Ce qu’Eishi déteste, ce sont tout ce qui touche de prêt ou de loin à l’occulte. Elle ne croit pas aux mythes populaires et toute histoire de paranormal qui ne se trouve pas dans un de ses romans lui semble stupide. Peut-être se considère-t-elle trop intelligente pour tomber dans ces pièges, ou bien peut-être a-t-elle tout simplement peur de ce qu’il ne peut s’expliquer…
Il y a autre chose que le fille-à-papa ne peut pas sacquer, ce sont les personnes ayant une apparence différente de la sienne. En effet, Eishi est xénophobe. Ouh le vilain défaut que voilà ! Elle ne peut pas converser normalement avec quelqu’un qui possède une peau de couleur différente de la sienne. Cela peut aller du simple bafouillement à la pure et simple discrimination, au gré des humeurs de mademoiselle.

Histoire :

Une joie se transforme bien vite en malheur.
L’heureux couple des Swan allait bien assez tôt fait d’en faire l’expérience.
C’était le mois d’avril, les cerisiers étaient en fleurs et la journée était tiède. Lui avait 27 ans, elle 26. Leur enfant allait naitre dans la journée, comme prévu par les médecins. Que pouvaient-ils espérer de mieux ?

"Il est mort..."

Dés que l’accouchement avait commencé, les sages-femmes avaient compris que quelque chose n’allait pas. Elles s’étaient soufflé le mot entre elles lorsque le bébé avait montré sa tête. Une tête bleue, signe d’asphyxie. Le cordon ombilical s’était enroulé autour du fragile cou du nouveau né et avait l’empêchait de respirer ses premières bouffées d’air. Il fallu faire dans l’urgence. Si l’on ne perdait pas de temps, il y avait une chance de garder cette petite chose en vie. Sans attendre, sans explication, on rompit le lien entre le fils et la mère pour l’éloigner dans une pièce voisine, où l’on pourrait tenter de le rétablir.
Le verdict fut rendu aux parents, toujours sous le choc, le lendemain matin. La petite Mona avait gagné sa place dans le cycle de la vie, finalement…

Une naissance difficile ? Il n’en faut pas autant pour que des parents couvent leur enfant unique. Il faut aussi préciser que M.Swan en avait parfaitement les moyens. Eminent banquier de Tokyo, sa famille s’était établie dans la région à l’époque de son grand père, originaire d’Osaka. Depuis, la gestion exemplaire de leur banque par les directeurs qui se succédaient de père en fils avait conduit à la prospérité de leurs placements. La petite Eishi était donc assez bien tombée pour quelqu’un qui avait faillit mourir dés la naissance. Déjà, sans qu’elle s’en rende compte, la famille réunie qui s’extasiait sur son petit corps endormi et la disait "chanceuse".
Ses premières années confirmèrent d’ailleurs cette impression. Toujours chouchouté par ses parents, Eishi avait l’impression d’être libre dans leur grande propriété, où ils vivait en vérité enfermé. Mais elle n’avait pour le moment rien à attendre de l’extérieur. La gamine de quatre ans avait un petit parc rien que pour elle, tous les jeux qu’elle désirait, et ses parents invitaient souvent des amis ayant des enfants aux aussi. Qu’espérer de plus pour ce petit être encore innocent ?

Mais ses parents ne pouvaient pas non plus la gardé cloitrée chez eux jusqu’à la mort, bien qu’ils l’auraient fait s'ils avaient pu. Il fallut envoyer Eishi à l’école primaire. Ses parents optèrent pour un établissement privé, soucieux de son "bon développement".
La petite apprenait sans trop se fouler. Elle avait des résultats à peu prêt corrects, et même lorsque ses résultats étaient décevants, on s’apercevait bien vite qu’elle n’était pas du genre à répéter ses erreurs. Dés les premières années de scolarisation, Eishi se mit à lire. Elle lisait presque tout ce qui lui passait sous la main, romans de toutes sortes, réalistes, fantastiques, policiers, à l’eau de rose, tout lui semblait bon à prendre. Et c’est ainsi, à force de s’abîmer les yeux dans des nuits blanches à lire des livres, que la gamine se retrouva forcé de porter des lunettes.

Jusqu’au collège elle n’était qu’une gamine dans la masse de ceux inscrit dans son établissement. Plutôt immature, les professeurs la réprimandaient souvent pour son attitude toujours irrespectueuse envers les autres. Il fallut attendre de tomber sur un enseignant particulièrement dur et sévère lors de sa dernière année de primaire pour la faire grandir un peu, car jusqu’ici la gosse n’avait pas compris que les autres êtres humains pensaient par eux-mêmes. Mais ça ne la rendit pas plus douce avec les autres, juste plus calculatrice.

A son entrée au collège, Eishi commença à se bouger un peu dans ses études, se rendant compte que ce qu’elle faisait n’était plus suffisant pour espérer mériter l’attention que lui portaient ses parents. Ses résultats furent alors largement au-dessus de la moyenne. Pas exceptionnels, mais assez bons pour rendre fiers ses parents. Ces résultats étaient constants, et Mona pris finalement avec ses parents la décision de s’inscrire à des clubs plutôt qu’à des cours du soir. Son choix se porta sur le Kyudo et sur un club de lecture. Le premier car c’était le seul sport qui lui semblait intéressant, le second parce que sa passion pour les romans ne s’était jamais éteinte.
C’était la belle vie. La vie d’une gosse qui avait eut tout ce qu’il voulait. La gosse avait ses bons et ses mauvais côtés, mais tout le monde la considérait comme une "chanceuse".

Eishi avait pourtant un vilain défaut que peu connaissait : elle avait horreur de fréquenter les étrangers. Leurs manières d’être lui semblaient trop différentes des siennes, ce qui leur valait du mépris de sa part. Dans son collège, elle avait trouvé une bande d’amis qui partageaient cette opinion. Le groupe que fréquentait Eishi n’était pas violent, juste assez méprisant envers les Hafuu, comme ils les appelaient, pour les rabaisser de manière satisfaisante. Loin d’être profondément raciste, Eishi se tenait en retrait lorsque ses camarades harcelaient leurs cibles favorites, imaginant ce que son père risquait de lui faire subir si jamais elle était prise dans une situation trop indigne pour elle …

Cette vie sans soucis continua jusqu’aux examens d’entrée au lycée. Eishi avait laché ses clubs afin de se consacrer à ses révisions. Les examens en eux-mêmes furent rapides, même trop. Tant de révisions pour quelques heures de véritable labeur, ça semblait trop insuffisant pour elle. A la sortie des examens, elle fut invitée par ses amis à une sortie en ville pour fêter ça. Comme ses parents la laissaient relativement libres lors de ses sortis, Eishi les suivit sans hésiter. La soirée fut sympathique jusqu’à ce que l’un d’entre eux propose un défi aux autres. Il s’agissait d’une maison abandonnée et soi-disant hantée qui se trouvait à quelques rues d’ici. Ils y entreraient chacun leur tour et le dernier à en ressortir se ferait offrir le petit déjeuner du lendemain par les autres. Eishi, qui avait sans doute lu trop d’histoires lugubres avec des maisons abandonnées, suivit pourtant les autres, pas rassurée du tout.

Etrangement, Eishi fut tirée au sort pour entrer en derniere, lorsque tous les autres se seraient dispercés dans la maison. La gamine attendit un moment à l’extérieur avant d’entrer par une porte de derrière. Ses compagnons devaient s’être terrés quelque part, car aucun bruit à part les craquements du plancher sous ses pieds ne lui parvenait. Mais au tournant d’un couloir du premier, une grosse chose informe se jeta sur elle depuis l’ombre du tournant. Pensant qu’elle était victime d’une attaque, Eishi se débattit en criant, avant de se rendre finalement compte que son adversaire était une affreuse couverture maintenue par ses compagnons. Lorsqu’elle parvint à se dégager, tout ce qu’il vit de fut l’hilarité des autres qui se moquaient d'elle. Ca aurait pu être une simple farce de camarade à camarade, mais pour Eishi, une telle humiliation était tout bonnement impardonnable. Sentant le rouge lui monter au joues, Elle couru jusqu’à l’escalier pour partir en vitesse. Mais alors qu’elle descendait les marches, elle sentit le vieux bois s’effrondrer sous elle. Avant qu’elle puisse comprendre quoi que ce soit, Eishi faisait une chute d’une dizaine de mètres pour s’écraser sur le sol de pierre dure du rez-de-chaussée en ressentant une violente douleur à sa hanche gauche. Ce fut tout ce qu’elle pu enregistrer avant de sombrer dans l’inconscience.
Le lendemain, Eishi se réveilla dans une clinique de la ville. Elle avait été retrouvée le matin même par le gardien de la vieille maison. Sa hanche gauche avait été entaillée par un morceau de bois qui se trouvait dans les sous-bassements de l’escalier, mais elle n’avait pas perdu trop de temps et s’en remettrai. Ce fut ensuite au tour d’un policier de venir lui demander ce qu’elle fichait au milieu des décombres d’un escalier dans une maison abandonnée. Eishi répondit tout naturellement que des camarades de classe l’avaient de force entrainé dans cette maison pour lui jouer un mauvais tour et que l’histoire avait mal tournée. La demoiselle affirma de la même manière que les autres devaient s’être enfuis après l’avoir vu dans cet état, et bien entendu elle cita leurs noms. Cela sans le moindre regret. Juste pour leur rendre la monnaie de leur pièce. Quelques jours plus tard, Eishi pu quitter la clinique. Le medecin affirmait que cette petite était une chanceuse, si le pique de bois s’était trouvé à un autre endroit, la jeune fille aurait pu en mourir dans l’heure qui suivait.

"Chanceuse" ? Ce n’était pas l’impression qu’avait Eishi. L’affaire n’empêcha pas ses anciens camarades d’entrer l’année suivante dans le même lycée qu'elle. Là, ils lui menèrent la vie dure, l’excluant dés qu’ils en avaient l’occasion, se moquant d'elle par vengeance de les avoir dénoncés, et surtout entrainant tous les autres à faire de même. La vie lycéenne d’Eishi fut bientôt un véritable enfer : sitôt les cours terminés, elle rentrait immédiatement chez elle pour réviser, lire, ou encore s’essayer à la photographie. Ses seuls moments de libération étaient les heures qu’elle passait à son club de Kyudo. Là il n’y avait personne pour la harceler et elle pouvait se prouver à elle-même qu'elle était encore bonne à quelque chose. Sentir qu’on pouvait mettre une fleche là où on le voulait, toucher juste, savoir que c’était un bon résultat, ce sentiment manquait terriblement à Eishi. La jeune fille alla même jusqu’à s’acheter son propre arc pour s’entrainer dans la propriété de ses parents, presque comme une enragée, essayant même souvent de lancer autre chose que des flêches sur sa cible...
Ses parents, eux, ne se rendirent compte qu’il se passait quelque chose que lorsqu’ils virent les résultats de leur fille chuter d’une manière alarmante. Pour eux, l’histoire de la maison hantée s’était forcément déroulée comme leur fille l’avait raconté. Il ne pouvait en être autrement. Mais lorsqu’ils menacèrent de la désinscrire de ses clubs et de l’inscrire à des cours du soir, Eishi, à bout et profondément vexée, se brouilla pour la première fois avec eux.

Ce fut ce moment que choisis la lettre de Mitsuko pour arriver à la demeure des Swan. On y mentionnait un enseignement parfaitement adapté à Mona, doublé d’un taux de réussite qui défiait toute concurrence. Ses parents y virent là une parfaite solution pour remonter les résultats de leur fille et une chance d’entrer dans une prestigieuse école qui ne se représenterai peut-être jamais aussi facilement. Pour Mona, quand à elle, cette lettre apparaissait comme une porte de sortie à l’impasse où elle se trouvait. Un nouveau lycée où personne ne pourrait l’empêcher de faire ce qu’elle voulait et où personne ne saurai ses actions passées. Le rêve en somme.
L’affaire fut vite réglée et c’est de cette manière que Mona arriva en cours d’année à Mitsuko.

Au début, tout sembla normal a la jeune fille : l’établissement était bien organisé, batit sur un cite magnifique, on leur donnait même un portable à leur arrivée et les cours ne furent pas durs à reprendre. Mais au bout d’un mois ce fut la désillusion. Mona ne pouvait pas sacquer le jardinier qui lui donnait d’irrépressibles frissons rien qu’à sa vue, et ça n’alla pas en s’arrangeant lorsqu’elle apprit les rumeurs sur ses pratiques vaudou. De plus, toutes les histoires de fantômes et d’esprit sur chaque centimètre carré de l’île lui tapaient sur le système. Elle ne pouvait plus supporter ce qui touchait de prêt ou de loin à l’occulte depuis l’histoire de la maison abandonnée.
Mona passa donc ce qui restait de sa première année de lycée à observer en retrait ce qui se passait autour d'elle, préférant observer les autres élèves afin de bien choisir ceux avec qui il se lierait d’une manière ou d’une autre. Sa prochaine année scolaire s’annonçait pour le moins interessante…

Oh d'accord ^^
Huuum pour les gouts, ils sont dans la deuxieme message, j'ai un peu la flemme donc je dévelloperais un peu plus, plus tard.

Je sais pour mon nom mais c'est un peu compliqué ^^
Je ne peux plus changer maintenant, j'suis dans une impasse ...

Merci toutes les deux, vous êtes trés sympa ( L )

Ah Oh d'accord ^^

Edit : Mademoiselle doit avoir surement les chevilles qui enflent ...

Alice : Merci beaucoup ! ( L )

Moi aussi j'aimerais me reconvertir en bi, a voir vos tronches toutes mignonnes <3

Une vague de bisexualité va debarquer sur le Forum ! xD

Ouii, aller toutes bi ! =DD Moi, j'suis partante ! ^^